• Ma chatte et moi

    Chatte, foufoune, nenette, zizi, teuch... il y en a des pires ! Je ne trouve pas le bon mot pour nommer cette partie de mon corps. Je ne suis pas forcément en paix avec elle. Je ne trouve pas cela très esthétique, et puis cette pilosité contre laquelle il faut lutter pour plaire à ces messieurs pfff...

    Il y a sa flore qu'il faut absolument respecter/équilibrer sinon gare à la vaginose, il y a les frottements qui aboutissent toujours à la mycose, mais il s'y cache le clitoris, merveille des merveilles car c'est de là (entre autre) que le/mon plaisir naît, monte, explose ainsi que le vagin qui ne laisse pas sa part au chien, fort heureusement.  Et en cela, me voilà réconciliée avec elle.

    L'objet de tous les désirs.

    Voici quelques clichés où je la montre, où elle me plaît, où je la trouve esthétique. 

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

     

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

     

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...

    Vagin : n. f. cet organe que j'ai du mal à exhiber...


    11 commentaires
  •  

    Cela fut le scenario le plus insensé que nous allions vivre, dans notre courte vie de libertins. Nous ne les avons jamais rencontrés mais nos nouveaux amis libertins nous en ont dit que du bien. Ils se connaissent depuis quelques années et vivent une relation amico-libertine qui nous laisse songeurs, MisterBloom et moi-même.

     

     

     

    Yllana et Simon, les amis de nos amis, nous correspondent assez bien, et d’après leur fiche Wyylde, nos recherches à travers le libertinage semblent assez similaires.

     

     

     

    Le temps passant, une rencontre est envisagée. Ravis nous sommes. Du coup, c’est Yllana qui nous contacte via Whatsapp. Elle crée une conversation, sans Simon. Tiens… ma curiosité est piquée. Elle annonce son idée : c’est une surprise pour lui qu’elle souhaite organiser. Le ton est donné, je suis devenue un cadeau. Etrange. Mais dans notre quête d’épanouissement, de nouveauté et de fun, me positionner en objet me semble soudain être un jeu excitant.

     

     

     

    Peu à peu le scenario s’organise. Finalement, MisterBloom et Yllana discutent en privé. Comme Simon, je suis exclue. Si dans les premières secondes cela m’a agacé, j’ai très vite senti l’excitation monter. Pour le moment, Simon ne sait pas que c’est moi l’attendrai dans cette chambre d’hôtel.

     

    Elle nous a laissé entrevoir qu’il aimait les jeux de domination. Me voilà à nouveau titillée. Les relations D/S sont un monde qui m’attire et m’inquiète à la fois, comme beaucoup. Jamais pratiqué, en dehors d’une soirée où j’ai été une « table à sushis » (Cf Pietro et la cravache) mais l’idée d’être dominée, menée à la cravache, instrumentalisée, me travaille. J’aime ce concept.

     

    Plus les choses se préparent et plus je suis excitée. Yllana a avoué avoir été une fois la surprise d’un homme et l’excitation avait été à son comble. Je commence à la comprendre… Elle décidera avec MisterBloom de l’endroit, de ma tenue, de l’heure, de l’attitude à avoir. Je ne serai qu’une sorte de marionnette, dont-ils feront ce qu’ils voudront, Simon en tout premier plan.

     

     

     

    Le jour J.

     

    Je n’ai reçu que peu de consignes, sauf que je dois porter une culotte, objet de jeux fétiche pour Simon. J’enfile une jolie tenue noire, porte-jarretelles, soutien-gorge, talons et j’attache mes cheveux en queue de cheval. Le temps passe et je perds ma verve : le silence est d’or. Besoin de me recentrer et tenter de faire face au trac. J’aime les conversations en amont des rencontres, le temps de la séduction, des coquineries verbales et échanges de photos. Là, rien. J’ai vu sa photo il y a quelques jours mais à ce moment du scenario, il y a black out sur ce souvenir. Impossible de me rappeler de son visage, de sa silhouette, de ses courbes, de sa carnation. Dans ma tête, il n’y a qu’une ombre masculine pour l’incarner. Etonnant cette capacité du cerveau à éluder…

    Chambre 38

     

    MisterBloom me taquine, plutôt satisfait de me faire sortir de ma zone de confort et lui aussi totalement emporté par la folie de ce scénario. Cela ne me rend pas bavarde pour autant. Nous arrivons à l’hôtel. La chambre est étroite, propre et sobre. Mais c’est un détail qui a finalement peu d’importance. Telle une automate, je file dans la salle de bain. Leurs affaires sont là, rendant la chose bien réelle. Et dire que nous ne les avons jamais rencontrés…. MisterBloom finit par m’attacher les mains. Nous convenons que c’est agenouillée sur le lit, dos à la porte que je l’attendrai. Un dernier baiser avant qu’il ne m’abandonne à mon sort, un baiser sage car limité par le rouge-à-lèvres mais qui en dit long sur notre ressenti : fébrilité, excitation, anxiété, détermination. Enfin, il me cache les yeux, la nuit commence.

     

    Chambre 38

     

    Lorsque j’entends la porte se refermer, je suis seule. Le robinet fait plic ploc et je me dis que si ça dure, je vais devenir folle. J’applique mes respirations yogi car je sens que mon cœur va faire exploser ma cage thoracique. L’espace d’un instant, je me demande comment j’ai atterri ici, moi, la mère de famille , la femme disciplinée et rangée qui doute sans cesse. Mais le doute n’a pas sa place ici. C’est juste un constat : quel contraste effrayant ! Il gonfle cependant mon ego, me renforce dans l’idée que j’ai pris ma vie en main. Quant à la question : est-ce qu’on ne serait pas en train de faire n’importe quoi ? Elle me traverse l‘esprit évidemment. Seulement, nous sommes quatre à avoir décidé de cette soirée de folie. Serions-nous quatre fous ?

     

     

     

    J’entends ses pas par la fenêtre entrouverte. Puis le bruit de la porte. Petite moue de nervosité sur mes lèvres, réflexe irrépressible. Je sens l’air se déplacer autour de moi, il bouge. Je ne peux savoir si Simon est nerveux ou s’il se réjouit. Je suis statufiée. Mais patiente. Il finit par s’approcher lentement, sans bruit et me murmure à l’oreille un soyeux : « Bonjour Folie ». De quelques mots brefs, il me rassure. Sa voix est posée, calme. Je sens la bienveillance et ainsi, je me sens capable de me livrer entièrement à lui, à ses envies, à ses désirs, les plus fous, vils.

     

    Je sens son visage si près de ma peau, c’est troublant. Pourtant, il va falloir que je patiente longuement avant de pouvoir connaître le goût de sa bouche. Ses lèvres trainent sur ma peau, s’attardant sur certaines zones, ne me laissant pas le loisir de participer, m’intimant l’ordre d’obéir. N’ayant pas mis une culotte mais un string, il me prévient que j’en serai punie. Je sens ses doigts, la chaleur de sa peau sur mon corps, son odeur, son parfum, sans pouvoir deviner sa taille, son profil, son sourire, ni même s’il en a un à ce moment du scénario.

     

    « Tu es une très belle femme, Folie » me glisse-t-il à l’oreille. Je frémis. J’aime sentir les frottements de son corps contre le mien, bien qu’il reste vêtu, contrairement à moi, entièrement à sa merci et presque nue.

     

    Simon me fait lever du lit, face au mur, sans que je n’ai le droit de réclamer un baiser. Il me détache les mains, écarte mes jambes et abaisse mon string, juste au-dessus des genoux. « Laisse-moi te regarder Folie, je vais profiter de mon cadeau… »

     

    Là, au travers du bandeau, je crois percevoir son regard qui glisse divinement sur moi. Dois-je être fière, dois-je me sentir affreusement gênée ? Je suis bien, en confiance et deviner ce regard fait augmenter sévèrement ma température corporelle. Je sens un plumeau entre mes jambes. Dans l’état d’excitation où je me trouve, ce plumeau va me rendre dingue. Jamais je ne l’aurais cru…

     

     

     

    Simon aime me titiller à travers le tissu de mon sous-vêtement, alors que j’ai envie qu’il me doigte, me prenne sauvagement, tant il a mis en éveil tous mes sens; et sa résistance me fait perdre la tête. Malgré mes « s’il te plaît » qui d’habitudes font effet sur certains sur mes amants. Ces supplications me valent quelques délicieuses fessées qui dans ce contexte prennent une toute saveur particulière : rarement fessées ne m’avaient fait autant d’effet, même si je le sens un brin précautionneux avec moi.

     

     

     

    Retour au lit. Dans la chambre, la température ne baisse pas. Les peaux sont moites et mon entrejambe n’en peut plus de réclamer son dû, sans rien obtenir. Là, j’ai enfin le privilège de le goûter. Je découvre la forme de sa queue, son goût, sa douceur, sa fermeté et je ne boude pas mon plaisir. Il m’en a privée, alors je me rattrape. Avec avidité, je le suce, le happe mais il finit par m’arrêter. Il veut garder le contrôle. J’ai terriblement envie de lui.

     

     

     

    A ma grande surprise, Simon m’accorde le droit de le voir. Délicatement, il ôte mon masque, de façon brève mais intentionnelle. A peine le temps de revenir à la lumière, cligner des yeux, le découvrir, mettre un visage sur cette voix, sur ce parfum, sur le goût de cette peau… que déjà, le masque revient à sa place initiale. Je suis séduite et frustrée à la fois, c’est délicieusement maléfique. Un bref sourire se glisse sur mon visage : je l’ai embrassé, respiré, caressé, senti, sucé avant de voir son visage. C’est insensé !

     

     

     

    Pause désaltérante.

     

    Puis je le devine s’éloigner pour aller cherche un nouvel objet. Je suis à l‘affût, oscillant entre curiosité et envie. Entre mes reins les papillons virevoltent, se déchaînent. A quelle sauce vais-je être mangée ?

     

     

     

    Je le sens au pied du lit ; des liens s’enroulent autour de mes chevilles puis enserrent mes genoux. Je n’ai plus de string, mais les jarretelles tiennent toujours mes bas. Là, il s’étend sur moi. Les baisers sont d’une rare sensualité. J’ondule, je me frotte, j’ai envie de lui, de sa queue que je sens si proche de son but. J’halète, gémis. L’envie est grandissante et je ne touche plus terre. Simon s’éloigne. Le bruit du sachet de préservatif me tient en haleine. Le claquement du latex me transporte. Il revient à moi, à mon enveloppe charnelle, étendue et je ne peux toujours pas écarter les jambes. Tout mon corps me dicte de lui offrir mon sexe. Je suis prisonnière, il garde encore et toujours le contrôle, me domine. Sa queue frotte mon clitoris, mes lèvres, et à plusieurs reprises, je me tortille, pour l’engloutir mais Simon me fait languir. Lorsqu’enfin sa queue entre, je crois défaillir. Il a si bien mené la danse… bon sang quel plaisir ! Les va et vient de son bassin me rendent dingue et je sens que la jouissance est toute proche. Il me lime et je ne peux toujours pas écarter les jambes pour qu’il s’enfonce davantage en moi, qu’il me plante son sexe au plus profond de mes entrailles et pourtant, quel pied !

     

    Une jouissance furieuse me surprend, m’emmène et me transcende mais Simon n’a pas dit son dernier mot. Il me détache, me place à quatre pattes, pour une délicieuse levrette, ma position de prédilection. A sa voix, je devine une jolie jouissance, alors nous nous écroulons sur le matelas maintenant humide, sans que je ne me rappelle à quel moment j‘ai tout éclaboussé.

     

     

     

    Je n’ai plus mon masque, je suis sur un nuage et nous nous regardons longuement, pour la première fois. On se questionne timidement : « ça va ? », on se remercie, un peu embarrassés. C’est mignon.

     

     

     

    Nous prévenons nos conjoints que nous sommes prêts à les accueillir. Il règne dans la pièce sombre une vague odeur de stupre, un bazar qui reflète bien la folie du moment. En les attendant, les langues se délient. Nous bavardons, autour d’un verre de rosé. Je découvre celui qui a été mon amant plusieurs heures durant. Je découvre une jolie personne, à qui je ne regrette nullement de m’être offerte. Il a été plus qu’à la hauteur. Et quel pied…

     

    Je sais que MisterBloom sera fier de moi, je sais aussi que cette soirée aura des répercussions sur notre sexualité, au court et long terme.

     

     

     

    Mais qu’ont-ils fait pendant ce temps ? Ils ont pique-niqué et dès leur entrée, nous comprenons qu’ils ont passé une belle soirée eux aussi. Je découvre Yllana ; c’est une très jolie femme. J’aime sa voix, sa façon de bouger, sa grâce et je comprends vite que MisterBloom est sous le charme. J’y succombe à mon tour. Je suis un peu gênée, la seule à être autant dénudée, décoiffée, les joues roses et les yeux pleins de bonheur. J’observe Yllana et Simon se regarder avec amour, c’est émouvant. MisterBloom me jette un œil complice tandis que nos mains s’emmêlent. Après quelques discussions, non sans constater qu’une complicité amicale s’installe, nous décidons de partir, les laissant dans cette chambre, sur ce lit aux draps souillés. Je remercie Simon de ce moment assez inoubliable. Nous nous embrassons, avec en tête, tous quatre de nous revoir. J’aurais bien embrassé Yllana davantage, et je ne suis pas la seule… Une heure de route nous attend et le boulot demain matin. Moins réjouissant. Depuis mon nuage, je songe à tous les sentiments qui m’ont traversé ce soir.

     

     

     

    Juste avant de partir, Simon me lance : « Attends. Je regarde une dernière fois mon cadeau ».

     


    8 commentaires
  • Dans ces soirées, nous n'avons que rarement le temps de prendre de jolies photos. C'est souvent flou car dans le feu de l'action, souvent sombre car les ambiances tamisées c'est mon truc, souvent mal cadré... Je m'applique davantage lorsque je m'autoportraitise. Parfois, c'est Monsieur Bloom qui s'y attèle, se postant en mateur candauliste et photographe.

    On se dit souvent en amont de la soirée : ce soir on fera des photos et puis...

     

    Voici un florilège de ce qui se passe certains soirs, avec certaines personnes, dans certains lieux (même au bureau...)

     

    L'une de mes plus délicieuses amantes

    s'emmêler encore, à 3, 4 ou plus

    Me revoilà avec Mercutio

    mon péché mignon

    Sur le canapé familial, sous les yeux amoureux de Monsieur Bloom

    Une jolie amante qui se donne à 120 % (il faut que je la revoie !)

    J'avais un angle de vue particulièrement délicieux

    Nos jolies soirées coquines et plurielles

    Samedi dernier à 4, que du bonheur...

    Après mon dernier rednez-vous de la journée, avec Lancelot

    petit passage de M à la maison pour un café...

    Première soirée avec 3 hommes

    C'est toujours délicieux une femme...

     

    Nos jolies soirées coquines et plurielles

    Le plaisir d'être avec Mercutio...

    Avant d'aller faire mes courses, je suis passée chez Amadeus

    Les lèvres expertes de S

    Un délicieux tête-à-tête avec N...

     

     


    6 commentaires
  •  

     

     

     

     

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs

    S'habiller d'escarpins noirs


    10 commentaires
  • Le confinement a été une jolie parenthèse pour nous, et nous avons conscience de cette chance... La seule contrainte : être discrets car nos ados deviennent perspicaces avec l'âge.

    On a profité de ce temps imparti pour faire des menus travaux, pour jardiner, pour se balader...

    Voyez par vous-mêmes le bonheur que ce fut :

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

    Mon confinement en images

     

     

     

     

     


    6 commentaires