• Travailler sur soi-même, c'est déjà se demander qui on est. A quoi on aspire. Ce qui nous fait vibrer. Ce qui nous rebute. Je suis F., 49 ans à la fin de l'été 2024, profession libérale, mère de 3 ados et amoureuse de MisterBloom. Je suis aussi FolieBloom sur X. Une hotwife. Découverte sur le tard ;-)

    Oui, j'aime le sexe. J'aime lorsque c'est débridé et sans limites. J'aime quand le sexe fait lâcher prise et quitter la planète Terre. J'aime lorsque MisterBloom me dévore du regard, quand nous sommes 2 ou encore 3 ou même 4...(ou plus ?!) J'aime le surprendre, j'aime me surprendre. Prendre du plaisir là où je ne pensais pas. Donner du plaisir de façon inconvenante et pourtant efficace.

    Qui suis-je au fond ?

    Instinctive, viscérale, animale, généreuse, fougueuse. Pendant le sexe, mon corps parle, SEXprime, bouge, réclame, s'enflamme, donne, brûle, ondoie. Comme si j'arrêtais de me poser des questions. Comme si le sensoriel prenait le pas sur le reste.

    ça a pu nous jouer des tours parfois, et heureusement que MisterBloom garde (un peu) les pieds sur terre... il est mon miroir, mon appui, mon oxygène, mon allumette qui met si bien le feu aux poudres. Grâce à lui, nous n'avons que très rarement été "déçus" par une rencontre et je n'ai que très rarement "merdé" ! 

    J'ai besoin de complicité avec ma ou mon (ou mes) partenaires. Et MisterBloom également. Lorsque les violons ont du mal à "s'accorder", lorsqu'on rame dans les conversations, lorsque le ton n'est ni léger, ni coquin, ça devient compliqué. Nous sommes des êtres de parole, l'Homme est relation. "Communiquer permet d'obtenir les complicités nécessaires au partage des ressources essentielles au soutien de la vie". Le sexe est-il une ressource essentielle ? Un grand OUI !

    C'est vrai que je parle souvent lorsque je baise... Des fois je dis des bêtises, mais dans un sauna par exemple, ça peut mettre de l'ambiance !

    Un.e amant.e doit donc me plaire dans ses paroles. C'est essentiel.

    Qui suis-je au fond ?

    Voilà donc un trait de caractère de plus pour me connaître : irraisonnée, naturelle, bavarde.

    La Hotwife que je suis devenue, ou plutôt, que j'ai libérée (Merci MisterBloom) aspire à une chose : faire briller vos yeux, juste après ceux de mon Homme. Pourquoi ce besoin de ressentir le désir ? Je n'ai pas suffisamment progressé dans mes investigations pour pouvoir vous répondre maintenant... Je pense que me démarquer quant à la gente féminine dans sa globalité me plaît : imaginer que je vous fais davantage bander que vos épouses, que j'aime bien plus le sexe que les mères de famille, que je puisse avoir votre attention toute entière me plaît, me grandis, me fais vibrer. Et puis, j'ai cassé l'image de la maman un peu rangée. Oui, on peut être maman et s...pe à la fois ! On peut avoir une maison rangée, des enfants bien élevés et épanouis ainsi qu'un appétit sexuel débordant, ainsi qu'une vie libertine rayonnante. On peut être mariés depuis 18 ans et être des cochons tordus qui sortent sans dessous au resto pour se doigter, louent une chambre pour une soirée D/S, qui sucent des queues ensemble, tout en emmêlant les baisers, les langues, les goûts.

    A la ville, nous sommes un couple plutôt mignon et agréable. Et notre entourage est loin d'imaginer cette vie parallèle... ça aussi c'est exaltant ! Sortir des sentiers battus, faire des cachotteries, porter des sous-vêtements insensés sous une tenue sage. Le sel de la vie.

    Qui suis-je au fond ?

    Beaucoup de questions ces derniers temps, sur moi-même et sur ce que je veux. Des verrous ont sauté. Pas tous hélas... La confiance en soi est ce sentiment d'une valeur inestimable qui nous fait ressentir que tout est possible. En terme de sexe, je crois bien que j'y suis. Sachez que vous y êtes pour beaucoup, vous, qui me suivez sur X, qui commentez mes tweets, qui me matez, me désirez, vous qui m'avez contactée, peut-être embrassée, baisée... merci.


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    Laissez-moi vous narrer notre première virée au Neapolis, club libertin à Mosnac (pardonnez les moments de flou, je ne touchais plus terre)

     

     

     

    ça y est ! Nous avons survécu à cette sortie ! Je m’en faisais tout un truc, je me disais qu’on pouvait annuler la veille, je n’y réfléchissais pas, ne m’y projetais pas pour ne pas stresser…

     

    C’est mon charmant amant Elloco et sa non-moins charmante épouse qui nous proposent d’y aller, ce samedi soir, pour une soirée spéciale Batucada. Hasard heureux du calendrier : nos ados seront en vacances en région parisienne, ce qui nous laisse le champ libre niveau horaires et pas de justification ni bobards ! Tous les feux sont au vert, on n’a plus qu’à y aller.

     

     

     

    Très occupée toute la semaine car en l’absence de MisterBloom, mon planning libertin est chargé (hé hé hé…) je n’ai pas le temps d’y penser. Alors, quand arrive samedi, plus d’enfant, maison propre et calme et en tête : le Neapolis et ce gros point d’interrogation, ce flou artistique. En quoi ça va consister, à quoi ça va ressembler, qu’allons-nous faire, comment seront les participants, comment s’habiller, est-ce loin, fait-il chaud dans cet endroit… ? Tellement d’interrogations qui nous mettent d’humeur moyenne, MisterBloom et moi.

    Au Néapolis en très bonne compagnie

     

     

     

    Quand Elloco et C. arrivent à la maison, nous prenons un verre et dînons ensemble en amont de cette soirée, et c’est une belle occasion pour relâcher la pression. Ils sont beaux et sexy tous les deux ; nos tenues nous semblent bien sages à côté d’eux ! Je ne leur précise pas que j’ai passé presque 50 minutes à trouver ma tenue qui ne me satisfait pas pleinement, que la garde-robe entière y est passée et que tout a été envisagé, même d’y aller à poil !

     

     

     

    Au détour de la cuisine, Elloco, amant toujours décidé et énergique, s’attarde sous ma jupe pour savoir ce qui s’y trouve. Mon string fendu n’est pas sans lui déplaire, visiblement ! Il s’agenouille et se glisse entre mes cuisses pour un délicieux cunnilingus non moins énergique, sous les yeux amoureux de son épouse candauliste. MisterBloom n’est pas loin et s’amuse de cette scène : décidément, nous sommes en train de baptiser certains endroit de cet appartement. Me voilà toute chose… il se relève et semble ravi d’avoir fait monter la température. Je me recoiffe, déboussolée.

     

     

     

    En fermant le lave-vaisselle, je me tourne vers le tabouret pour y trouver C. et son mari entre les cuisses, puis le mien. Cette vision est folle et m’amuse tellement ! Quel décalage avec la réalité. Si seulement on pouvait raconter tout ça… C’est ensuite moi qui me glisse entre les jolies jambes de C. pour la goûter timidement mais non sans y prendre du plaisir.

    Au Néapolis en très bonne compagnie

     

     

     

    C’est l’heure de partir. Je chausse mes escarpins rouges, enfile mon trench. MisterBloom et E. sont en chemise. Je vous ai déjà parlé de mon attirance pour les hommes en chemise ? Dehors c’est l’automne. Une heure de route, sous la pluie. Nous les suivons tant bien que mal, en sirotant un redbull, histoire de garder la forme le plus longtemps possible.

     

     

     

    Parking. J’ai l’impression d’arriver à un mariage où je ne connais personne, ça me crispe. Il fait un froid de chien et je grelotte, mes jolis talons dans la boue. Grrrr… ça commence mal. 90 euros par couple, de 22H30 à 5 heures, despé à volonté (j’aime pas ça hélas). Je dois reconnaître que a décoration à l’entrée est réussie. Que des filles pour nous accueillir, toutes plus jolies (et plus jeunes!) les unes que les autres. Elloco et Co., habitués, nous font une visite et peu à peu, mes yeux se remplissent d’étoiles. C’est un lieu assez incroyable, au beau milieu de la campagne. En visitant la salle « tendance bdsm», je me trouve face à une croix de st André (souvenir d’un chouette GB que j’avais eu pour mon anniversaire !) et ne peux m’empêcher d’y monter, glissant mes doigts dans les anneaux. C’est là que E. m’entreprend, à nouveau à mes pieds (songez à l’image de ces croix : les femmes soit disant soumises, attachées mais qui sont à leurs pieds? Hé hé… #girlpower). Il me lèche le sexe avec avidité et je ferme les yeux de plaisir, ne voyant pas les quelques personnes passer, refusant de penser que nous sommes les premiers à commencer les hostilités… E. s’éloigne brutalement en me disant : allez stop, tu vas patienter maintenant. Le salaud…

     

    La visite continue : une grande piscine, un jacuzzi, un sauna, une salle de billard – fumeur, une terrasse, deux pistes de danse, des petites chambres, des recoins, une passerelle en plexiglas qui révèle les dessous, un DJ qui se débrouille carrément bien, la déco est très réussie, bref… MisterBloom et moi prenons nos marques et commençons à relativiser sur cette soirée qui semble avoir tous les ingrédients pour bien se dérouler. Nous buvons un truc à base de jus de fraise, de tabasco et de rhum qui a vite stoppé le froid dans mon corps. Les gens arrivent, beaucoup de jeunes couples (cela m’étonne toujours, je ne sais pas pourquoi) quelques hommes seuls, que des fiches Wyylde donc triés sur le volet. Les tenues sont affriolantes !! Je ne sais plus où donner de la tête : les filles sont pulpeuses et appétissantes, les hommes en chemise (Mmmmmmh!), la température monte.

     

     

     

    On se frotte parmi la foule des gens. La thématique Batucada/couleurs est globalement peu respectée, ce qui me rassure parce qu’avec ma robe noire, je ne suis pas très TeamBrazil. J’ai dû la remonter un peu cette robe, parce qu’elle arrive tout de même au niveau du genou, limite nonne la foliebloom !

     

    Je sens que MisterBloom et Elloco sont déjà durs, et ça, c’est un vrai bonheur de le savoir. L’ambiance est bonne, bienveillante et chaude. Il y a des jolies femmes tout autour et les sourires sont sur toutes les lèvres. J’ai encore les mains froides alors E. en glisse une dans son pantalon : une très bonne façon de les réchauffer ! A sa demande, je le suce timidement, dans un coin car tout le monde est encore très très sage… j’en profite pour sucer aussi MisterBloom qui ne boude pas son plaisir, et C. relève aussi le défi ! On s’amuse bien ici dites-donc.

     

     

     

    Nous décidons de nous déplacer à l’étage. Quelques couples squattent les canapés, une jolie danseuse en tutu et seins nus se trémousse dans une cage au-dessus du bar et de la piste de danse. Ça m’amuse, ça m’attire et j’aime la regarder. Il y a des barres de Pole Dance mais personne n’a encore osé s’y aventurer. Je ne l’envisage pas, trop peureuse de m’y retrouver les fesses par terre ! N’est pas pole danceuse qui veut ! Je m’accoude à la barrière, j’ai une vue sur tous les convives en bas. J’ose espérer que mon string fendu rouge (touche de couleur!) va attirer l’oeil. Deux joueurs de djembé accompagnent les rythmes entraînants des enceintes. Difficile de ne pas bouger son corps… La cage est maintenant disponible. Encouragée par mes acolytes, poussée par une énergie presque inconnue, je m’y glisse, laissant mon corps s’exprimer, onduler, vaciller, le regard posé sur MisterBloom, C. et Elloco, imaginant ce que les buveurs en bas peuvent deviner sous ma robe, avec l’impression d’être hors du temps, une parenthèse loin de la réalité, mais aussi l’impression d’être moi. Enfin. (Vous ai-je déjà parlé de mon fantasme de la strip-teaseuse ? Non ? On en reparlera alors ;-) ) Me revient en tête la phrase prononcée lors du dîner : je suis timide. Et bien, force est de constater que cela peut dépendre des contextes...

     

     

     

    Sur les canapés, la température monte encore. Plus question de mains froides ! Me voilà sortie de la cage et la queue de E. est déjà dans ma bouche. J’adore ! Je me penche pour sucer mon cher et tendre et il bénéficie de toute cette excitation ambiante ! Je vois C. qui se fait prendre contre la rambarde par son chéri et ça a l’air carrément pas mal ! Là, je m’arrête un instant et me dis : ça part en cacahuète cette soirée ! Nous sommes encore les plus cochons du lot mais qu’importe, l’idée qu’on nous regarde m’excite plus que tout. A chaque fois que E. ou MisterBloom fouillent mon entrejambe, je les sens éblouis par l’humidité. C’est vrai que j’ai très vite senti en moi un lâcher-prise. Une envie irrésistible de m’éclater, de profiter, de faire la fête, de me libérer : l’autoroute de la cyprine et du sexe !

     

     

     

    E. nous présente une amie libertine, J. (Jenny33000), venue ici avec F. (Bermudes117) Ils sont souriants, heureux d’être là eux aussi et chauds… alors très vite, E. se place entre ses jambes pour l’un de ses célèbres cunnis énergiques et délicieux, tandis que F. entreprend la jolie C.. Ils sont beaux, excitants et c’est un plaisir des yeux de les admirer. Nos regards se croisent avec F. Il a de jolis yeux bleus et une belle queue bien dressée. Après l’avoir frottée contre mon fessier, nous nous embrassons.Très vite je suis à ses genoux, incitée par C. qui me conseille cette jolie queue. Il faut dire que derrière nous, MisterBloom et J. semblent très occupés, il lui mange la chatte avec appétit ! Elloco et son épouse aussi on dirait ! Il fait une chaleur infernale, les gens se lâchent, la musique emporte les gémissements au loin, mais les images sont là. Le sexe est bien une activité légitime, à part entière, qu’on adore pratiquer et je ne suis pas une perverse.

     

     

     

     

     

    E. m’emmène dans une petite loge, sans portes, miroirs au plafond. Je l’avais repérée celle-ci lors de la visite. La dernière fois que j’ai vu des miroirs au plafond, c’était dans un love hôtel à Paris avec un amant plutôt bien doté et j’avais adoré le point de vue.

    Au Néapolis en très bonne compagnie

    J’enlève (enfin) ma robe qui commence à accuser le coup de l’humidité ambiante, sueur, cyprine… Mon amant se glisse entre mes cuisses et me mange littéralement. C’est un bonheur infini qui me fait beaucoup mouiller, d’autant que C. & MisterBloom ne perdent pas une miette du spectacle, tout en se caressant. La vision de nos deux corps sur ce plafond miroitant est divine, malgré la buée. J’aurais tellement aimé pouvoir vous la montrer cette image, mais je vous fais confiance pour imaginer, car mes courbes vous les connaissez par coeur maintenant ! E. commence à bien me connaître et me fait gicler rapidement. Nous nous redressons, petit nettoyage des surfaces et hop, on décide de retourner se désaltérer. Je cherche les toilettes et C. m’indique un chemin. A cet instant, l’idée que je sois en string ouvert et talons (assortis!) me traverse. J’envisage de remettre ma robe (#timide) mais les garçons refusent. Et me voilà partie à travers les couloirs et passerelles du Néapolis (mon sens merdique de l’orientation ne m’aide pas). J’ai donc déambulé dans cette tenue (croyez-moi c’était une épreuve mais que j’ai relevée!) passant entre les gens qui papotaient, jouaient au billard, fumaient, buvaient au bar. Et je me suis rendue compte que j’étais assez tactile, attrapant sans barrière les hommes par les épaules pour me pouvoir passer, posant mes doigts sur les courbes des femmes, avec le sourire et les seins à l’air : tout passe !

     

     

     

    Les banquettes ont été désertées, tout le monde est parti profiter on dirait… cette pause est bienvenue pour nous. Plus de fraise ni de tabasco mais un cocktail à base de jus d’ananas qui est ressourçant en terme de sucre et d’hydratation. Avec C. et E., nous sommes attirés par de délicieux gémissements qui viennent de la petite alcôve aux miroirs et déjà quelques spectateurs se placent aux premières loges, dont MisterBloom et moi-même. A mes côté, un jeune homme au regard timide mais qui semble absorbé par le spectacle (ghtuze). Je lui souris, il fait de même. J’ai déjà croisé son regard, lorsqu’il était au bar, en contrebas. Nos épaules se touchent et à cet instant, je me demande ce qui peut bien se passer dans sa tête. Ce soir, FolieBloom est bien décidée à s’amuser et faire fi de tous les à-côtés qui pourraient empêcher : « Tu permets ? Demandai-je poliment. » Il me répond oui sans trop savoir à quoi s’en tenir. Je me place devant lui et frotte doucement mon fessier contre lui. J’espère que le message est passé… ses mains (timides pour le moment) se placent sur mes hanches. J’oscille du bassin, je le sens durcir un peu. Cette indécence dans mon attitude m’amuse autant qu’elle me surprend. Je jette un œil à MisterBloom, ses yeux brillent.

     

     

     

    J’emmène ce jeune homme un peu plus loin pour le sucer, un petit recoin où l’on peut se poser, offerts à tous les regards. Il n’est pas encore au mieux de sa bandaison mais je sens qu’il apprécie. MisterBloom et E. se joignent à lui. « Tiens ! Mon mari ! » (je rigole intérieurement à ma blague!) Me voilà une queue dans chaque main et celle de ce nouvel amant en bouche. Rapidement, il se retrouve derrière moi, je lui offre mon séant et d’après le gonflement de sa queue, le panorama semble lui plaire. Lorsqu’il entre enfin, entamant son va-et-vient grisant, je ne suis sur un nuage ! Je ne vois plus qui est autour, je sais que les regards sont là, je sais que MisterBloom n’en perd pas une miette. Bon sang que j’aime ça ! Il me lime bien, il tape au fond sans que ce soit douloureux, il me fait mouiller le bougre… Mais déjà, une nouvelle queue est là : je lève les yeux vers ce nouvel amant à la bite bien dressée, incurvée, lui sourit et après un petit bonsoir soyeux, le happe avec bonheur. Mes gémissements emplissent la petite alcôve, jusqu’à ce que ghtuze soit emporté par la jouissance. J’entends ses râles et imaginer son jus qui coule à grands jets en moi m’excite beaucoup.

     

    Il reprend son souffle, me sourit et m’embrasse, avec un merci d’homme comblé. Puis il y aura une troisième queue encore ! Petite sucette rapide, on a très envie avec mon cher et tendre de retrouver nos amis, partis à la piscine. Au détour d’un passage au pipiroom, je croise ce jeune homme du couloir, le timide qui a joui en moi : « Tiens ! Vous ici ! » On se marre. Il me remercie du moment passé ensemble, on dirait qu’il a aimé. Je le remercie à mon tour car j’y ai trouvé mon compte aussi. Ton prénom ? Il me répond Michel et je le crois de but en blanc. Tiens, ils n’ont pas des prénoms très modernes dans le coin. Il éclate de rire : « Tu crois vraiment que je m’appelle Michel ? A mon âge ?! ». Quelle naïve je suis ! Il me fait rire et on échange nos pseudos wyylde. C’est bon enfant, c’est doux et en même temps si coquin...

     

     

     

    Le moment dans la piscine fut encore plus délicieux que le reste. Quelques couples s’y prélassent, enlacés. Je m’installe sur une bouée flamand rose, je flotte tranquillement, me détends. C’était sans compter sur Elloco, toujours prêt pour le sexe ! Il écarte mes jambes, y plonge son visage, sa langue, sa bouche, me fait -à nouveau- perdre la tête, toujours sous les yeux coquins et pleins d’étoiles de C. et MisterBloom. Sur une bouée ! Ça c’est du jamais vu ! Tant bien que mal, je redescends de mon destrier, bouillante, enivrée, prête à tout. Là, contre le bord du bassin, E. me doigte. Je suis encore et toujours mouillée. Je me plaque contre lui, frotte mon fessier. Sa queue est toujours aussi dure et dressée, comme j’aime. Décidé, il m’attrape par les hanches et me pénètre, presque brutalement. C’est si bon ! Me voilà empalée sur son sexe, il me tient par les bras et me lime avec adresse. Je sens que je lâche prise, encore un peu plus. Les regards de nos époux sont posés sur nos corps mouillés et emmêlés. Est-ce qu’on est excitant ? Je le pense. Est-ce qu’ils aiment ? C’est une certitude. Et comme si je sortais de mon corps, mon esprit vagabonde, s’appuyant sur une prise de vue plus lointaine de cette scène : je suis nue, pénétrée par mon amant, sa femme et mon époux nous regardent, décidés à mater, excités eux aussi, des libertins passent sur le bord de cette piscine dont seule l’eau est éclairée, à demi nus, jetant probablement (et je l’espère) un coup d’oeil au spectacle de plaisir que nous offrons. Je ne touche plus terre ! Là, je décide de lui faire face. A nouveau, je m’installe sur sa queue qui ne perd pas une once de sa vigueur. Nous nous embrassons, emboîtés, chauds et plein de désir. Très vite, une première vague de plaisir s’approche et repart aussitôt. Je lève les yeux au ciel… c’est divin. De son sexe, il continue de tamponner, de fouiller mon entrejambe béant et lubrifié. En sentant sa langue pénétrer ma bouche, ses mains décidées sur mes hanches, la deuxième vague approche. Au bout de mes pieds fourmillent des éclats de plaisir. Une décharge électrique me traverse. Je le supplie de continuer encore. Encore. Encore ! Je jouis enfin, le corps secoué d’un spasme long et délectable, le vagin resserré autour de son sexe, les yeux clos et pleins de paillettes. Alors mon corps s’étend dans l’eau, laissant mes tétons excités pointer à la surface. Je suis bien. A son oreille je lui glisse : « Mais tu m’as fait jouir toi... » encore étonnée car peu fréquent lors des rencontres. MisterBloom annonce : « Quel spectacle magnifique ». J’ai un sourire indéfectible sur les lèvres, fière, comblée, extasiée.

     


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    Avec E., nous avions passé un délicieux vendredi soir à la fin des vacances, comme il y avait bien longtemps, un trio endiablé, chaud et humide où MisterBloom a été un mari cocu comblé, un voyeur candauliste ravi et moi une belle s… baisée longuement, avec application et ardeur. E., amant délicieux et émérite n’est pas étranger à notre retour glorieux dans le libertinage. La transition dans cette nouvelle région a été compliquée et il y a eu des mois rudes, des périodes sombres, un hiver sans rencontre, des vacances d’été sans sexe, l’absence d’envie malgré l’envie d’avoir envie comme disait Johnny. Alors ce trio nous a réconciliés avec la région (un peu, pas totalement tout de même, faut pas exagérer hein). Et nos corps se sont exprimés : oui, on en veut encore !

     

    Dans la foulée, nous avons retrouvé un couple d’amis libertins le temps d’un week-end délicieux. Eux aussi ont contribué à ce retour au libertinage, et pas qu’un peu ! Et puis, il y a eu mon rugbyman, un amant rencontré par le passé, en duo, lors d’une formation. Lui aussi est un délice ! A dévorer sans aucune modération…

     

    E. nous relance mais nous sommes pris par les obligations familiales. 3 ados, mes parents qui débarquent, les amis, le boulot. Quelle frustration ! Finalement, on se cale un rendez-vous pour la semaine suivante : « Je t’emmène au sauna libertin, vous ne connaissez pas ! Puisque ça t’effraie un peu, tu seras fixée ».

     

    Un peu effrayée ? Je m’en fait plutôt une idée tordue d’un lupanar glauque, hygiéniquement limite et bardé de gros bonshommes cochons… après avoir vu, je me rends compte que j’étais loin de la réalité. Un rendez-vous la semaine prochaine, dans mon cerveau d’autruche, ça dit : « T’as le temps de voir venir, d’annuler, on s’en fout c’est pas maintenant »oops. Sauf qu’on met un point d’honneur à ne pas annuler, sauf cas extrême.

     

    C’est le jour J. MisterBloom m’a envoyé un message que j’ai aimé et pas oublié du tout : « Prends du plaisir mon Amour, éclate-toi et petit challenge : sucer une autre queue que celle de ton amant ». Dans mon bureau, en lisant ces mots, je me sens déstabilisée. Le stress monte d’un cran.

    J’ai rendez-vous avec E. et son épouse dans un bar. Ils m’attendent, je suis en retard, mon vélo est en réparation, je suis du coup en voiture, embouteillages, erreur de google map, enfermée dans un parking sous-terrain dont je n’arrive pas à m’extraire. Je cumule. Déjà que la journée a été longue ! Le stress ne m’a pas quittée de la journée. En amont des rencontres, je suis toujours partagée entre stress et excitation. Mais dans ce contexte un peu différent, sortir de ma zone de confort en changeant de lieu, en découvrant un endroit qui m’effraie, sans MisterBloom, mon cerveau est aux abois, je n’en mène pas large et même si j’ai ôté ma culotte avec un plaisir non feint, mon entrejambe n’est pas foncièrement humide. Il en décevrait plus d’un(e).

     

    Ils m’attendent, le sourire aux lèvres. C’est si agréable… Je jette un dernier coup d’oeil à mon téléphone avant de le poser, à l’écart. Message de MisterBloom sur la conversation : « je n’aurai pas de photo ce soir, mais une photo de E. et Folie s’embrassant, ce serait top ! ». Le scenario est le suivant, je rejoins ce couple marié, uni, amoureux sur la terrasse du bar, et j’embrasse E. comme s’il était mon mari. C’est d’ailleurs ce que je fais, sans me faire prier. Le froid m’incite à me rapprocher de lui, à glisser mes mains entre ses cuisses.

    Ils sont tous deux adorables. Des belles personnes. Propre et figuré. Je ne me lasse pas de regarder cette jolie femme. Le stress redescend peu à peu, la confiance s’installe et l’alcool aidant, (un verre seulement ! Très sage FolieBloom aujourd’hui) je commence à me projeter dans cette soirée. E. fait tout ou presque pour que je sois confiante, apaisée. Ça fonctionne ! Il est la bonne personne pour réussir ce genre d’initiation. Le froid ne m’atteint presque plus. Les lumières sont jolies autour de nous, le soleil s’en va lentement derrière les bâtiments, emmenant avec lui mes idées noires. Cette scène que je vis est démente car la question qui revient c’est : pourquoi je suis là déjà ? La réponse importe peu, je veux passer une belle soirée, je suis avec les bonnes personnes, je veux pouvoir raconter tout ça à MisterBloom, je veux qu’il soit fier de moi, je veux être fière de moi et m’éclater surtout !

     

    Pause pipi. Avec l’excitation, mes reins fonctionnent à pleine vitesse ! C’est la troisième fois en 2h !

     

    Aux toilettes j’en profite pour faire un contrôle du visage : malgré la laideur du carrelage blanchâtre, la saleté des poubelles débordantes que je ne vois même plus, le miroir me renvoie une belle image. Ça faisait si longtemps que je ne m’étais pas aimée dans une glace … Un visage de gagnante. Une femme sûre d’elle. Les papillons dans le ventre sont en train de s’éveiller, il y a comme une délicieuse effervescence entre mes reins.

     

    Nous quittons le bar. Face à l’ascenseur, celui-là-même dans lequel 3 semaines avant, je me suis laissée caresser par un twittos avec qui j’avais pris un verre, non-libertin et marié- nous patientons, les regards égrillards, les sourires équivoques. Il lui demande de m’embrasser, elle le fait divinement et je ne boude pas mon plaisir. La douceur d’une femme… A son tour et à sa demande, il m’embrasse. Je ne songe même plus au regard des possibles clients du bar, leur perplexité quant à cette scène triptyque inhabituelle. Elle nous abandonne peu après, nous recommandant de bien nous amuser, excitée. C’est dingue une femme candauliste. J’avais du mal à croire à ce concept mais là, je dois l’avouer, je suis bluffée et convaincue. Elle aime voir son Homme s’occuper de moi, m’embrasser, m’emmener pour baiser. Tellement hors des sentiers battus !

    Mon (tout) premier Sauna Libertin avec mon amant

    Mon (tout) premier Sauna Libertin avec mon amant

     

    Dans le parking sous-terrain, E. me bascule sur un capot et me doigte vertement puis il s’agenouille pour me prendre en bouche. Entre mes cuisses, l’humidité se fait plus impétueuse. Je suis presque choquée de cette scène que je suis en train de vivre. On pourrait nous voir ! Je ne touche plus terre et mon esprit s’enhardit à songer combien cela est excitant.

     

    Arrivée au sauna. A l’accueil, le tenancier (y a-t-il un mot pour un monsieur qui travaille à la caisse d’un sauna libertin ?) est chaleureux et nous met à l’aise. Il a vu à mon sourire mi-figue mi-raisin que je ne suis pas dans mon élément. Il explique et rassure avec bonhomie. J’acquiesce tout en me disant que ça sent la piscine finalement cet endroit. Dans les vestiaires, on enlève tout. Je m’emballe dans mon paréo comme au bord de la piscine du camping : noué sous les aisselles. Rien ne dépasse ouch. Pas vraiment prête la p’tite...

     

    E. me tient la main et ce contact est essentiel. Je ne vais quasiment pas lâcher sa main de toute la soirée.

    L’endroit est très sombre, quelques lumières rouges, les murs noirs, rien qui ne permette de distinguer les visages. L’anonymat me rassure un peu. Petite visite guidée par E. Je vois qu’il en connaît tous les recoins et ça m’amuse. Je sautille, ris, me perds totalement (#pasdesensdelorientation) et finis par déclarer : je suis comme une gosse à Disneyland ! Une salle avec une balançoire, une salle avec un siège gynéco, une salle avec un lit central et des sièges autour + gloryhole, un véritable parc d’attractions du sexe ! Mais peu rempli. Nous n’y voyons personne en pleine action. Nous croisons des gens nus. Des gens en serviette. Un jacuzzi dans lequel trempent apparemment pas mal de monde. Des petites alcôves. Un sauna. Des douches. Un hammam. Des hommes. Des regards qui traînent sur nous 2, sur moi. Je n’y prête pas attention. Pourtant, ils sont en train de repérer. Tous ces codes, ce fonctionnement m’échappent. Je suis vierge de tout cela. Pas E. qui sait vers quoi il m’emmène, gardant à l’esprit que je suis seule décisionnaire. Pause pipi (et oui, encore!). En l’attendant, je croise les bras, dans ce couloir sombre, enroulée dans mon paréo. J’ai un sourire niais. Je décide alors de faire descendre le tissu jusqu’au nombril. Etape 1 validée. Je progresse.

     

    E. me propose d’aller prendre une douche, dans laquelle nous nous amusons un peu, sous les yeux d’un homme qui n’en perd pas une miette, puis entrons dans le hammam. C’est vide. Peu après notre entrée, un homme y pénètre également. Sans un mot. Avec mon amant, nous jouons, nous trouvons dans le noir, emmêlant nos langues, nos mains, dans la moiteur de cette petite pièce. Je sais qu’il y a quelqu’un juste derrière mais… je l’oublie. Je m’agenouille pour prendre E. en bouche et le suce avec délice. Sa queue est majestueuse et je ne m’en lasse pas ! Je suis concentrée, toute à cette fellation qui fait bien monter l’excitation lorsque je sens deux mains se poser avec une délicatesse infinie sur mon fessier. Le silence est toujours de mise. Je ne peux m’empêcher de ronronner, tortillant mon cul, sous le nez de cet inconnu. E. me regarde, à la recherche de mon acquiescement. Il l’a instantanément. Cette nouvelle queue frotte agréablement ma chatte et mon cul offerts, tandis que je happe la queue dressée de mon amant, visiblement aussi excité que moi !

    Je n’y tiens plus et me tourne vers le nouveau, toujours à genoux. Je murmure un bonjour amusé. Je ne peux pas m’empêcher de parler, de faire des blagues ! Mais ça les fait marrer.

    Enfin, j’entrouve la bouche pour le lécher puis l’engloutir, sans lâcher la queue de mon amant, bien serrée dans ma main. Ce nouvel homme, possiblement jeune (dans le noir, sans mes lunettes avec la vapeur, je suis très approximative dans ma perception!) a été gâté par la nature ! J’arrive à peine à la moitié de sa verge et déjà, je suis étouffée. Il bande dur, c’est un plaisir… ma bouche va d’une queue à l’autre et je lance entre deux bouchées : Mmmh… j’aime bien cet endroit !

    Je sens que je suis emportée par une vague d’excitation et de désir, la réalité est si loin ! J’ai envie de sucer encore, leur donner du plaisir, m’offrir à eux, à leurs regards, à leurs queues, envie de ne plus contrôler et d’abandonner mon corps au plaisir partagé.

    Et là, sans que je ne réalise, nous sommes finalement 5 dans ce hammam ! Je sens des doigts se glisser entre mes lèvres, titillant mon clitoris. J’aperçois un corps au bout de ces doigts. Tiens une nouvelle queue devant moi ! Je ne sais plus où donner de la tête, telle un barman le soir de la finale de rugby ! Une maîtresse d’école qui tient le stand de barbapapa à la kermesse ! Un keuf un jour de manif étudiante ! Sauf que c’est du bonheur… j’ai un sourire intérieur incroyable. Comme si je me retrouvais enfin. Pas une révélation, mais plutôt un retour aux sources. Je suce donc ces 3 hommes et me tourne enfin vers E. qui me suggère une pause. J’accepte volontiers, les genoux meurtris sur ce carrelage ! (Pensée pour AmanteLilli qui a les meilleurs genoux du monde je crois!).

    Encore une fois, être avec lui me permet de ne pas être submergée ou « maltraitée ». Aurais-je eu le cran de les arrêter ? Les frustrer ? Me frustrer aussi ? Difficile à dire.

    Etape 2-3-4 validées ! (en aurais-je sauté?yes)

     

    En attendant, mon maquillage en a pris un coup et mes cheveux aussi ! Il faut dire que ma mignonne queue de cheval a bien plu à E. : c’est une poignée magnifique pour guider ma bouche hé hé !!

     

    Au bar, on profite des soft drinks à volonté. On nous propose des bonbons, c’est attendrissant ça ! Il y a un coin fumeur où des libertins refont le monde, un écran au mur où une dame se fait prendre au bord d’une piscine. Les habitués discutent autour d’un verre. C’est détendu cette ambiance. Un verre d’eau, (pas d'alcool ici) petit débriefing avec E. qui ne pensait pas que cela partirait si fort. Il est ravi, comme moi.

    Très vite, l’envie d’y retourner nous prend. Je n’ai pas tout vu et j’ai bien envie de m’amuser encore !

     

    Petite salle à part. « ça te dit ? - Ouiiii ! Mais on laisse la porte ouverte hein ! - Ah ok !! ». Il se marre. Mon côté exhib prend le dessus. Cette porte ouverte ne signifie pas forcément que je veux m’envoyer tout le club, mais que je veux régaler les yeux de chacun tout en profitant de mon amant qui sait si bien me baiser. Il me fait vite crier, et puis vous me connaissez : je donne facilement de la voix ! Ça attire quelques hommes à qui E. demande de rester à distance. Visiblement, nos ébats semblent leur plaire et pourtant, je n’ai d’yeux que pour E. qui me fait gicler me lime et me fait tant de bien… Il se place ensuite face à moi pour que je le suce et je ne me fais pas prier. Sa belle queue tendue me plaît toujours autant. Un couple vient s’installer près de nous et son homme la baise avec application. Elle est jolie, tatouée, belle dans son plaisir discret. Je suis à 4 pattes, suçant E. et mon cul est offert. Dans ma tête, j’espère bien être comblée. Revoilà justement la séduisante queue croisée au hammam. Echanges de regards encore avec E. Tout est ok. Préservatif en place, il s’avance et commence à me prendre, me limer mais il est si long ! E. s’avance vers la tatouée, lui offrant sa queue à portée de bouche. Il sait ce qu’il veut mon amant.

    Je prends cher ! L’inconnu est diablement monté et je lui demande à plusieurs reprises de ne pas aller au fond. Encore une fois, je ne peux pas m’empêcher de blaguer :  « Ouh la la… c’est plus le même gabarit là !! ça me fait mal à l’estomac, c’est quand même pas normal si ? »

    Je prends un plaisir infini, pas tant par la pénétration mais par la prise de conscience de la situation. Je ne suis même pas avec mon mari… j’aurais tellement aimé qu’il voit ça pourtant ! Malgré tout, je finis par stopper le truc car je tiens à ce que ma chatte survive à tout ça. Le couple aussi a changé de coin.

     

    Passage par la douche avant de nous glisser dans le jacuzzi. Je devine beaucoup de couples dans l’eau qui s’amusent, en duo, chacun dans son petit coin. Les regards se croisent. Des gémissements, des rires, et dans l’obscurité de la pièce humide, nous nous glissons dans l’angle du bassin, avec une vue globale sur les autres coquin.e.s. E. me hisse sur le rebord, se glisse entre mes cuisses ; il me fait un bien fou. Le plaisir est décuplé par cette sensation d’être exposée à la vue de tous. Près de nous, un couple en pleine action, apparemment Madame se fait bien baiser dans l’eau bouillonnante et E. n’en perd pas une miette. Il a une idée derrière la tête… La naïve que je suis ne le voit pas venir ! Il déporte doucement mon corps vers eux. Les peaux s’effleurent, se frôlent, se touchent enfin. Mon amant est plus efficace et plus démonstratif que moi, lorsqu’il a un but, rien ne sert de tergiverser ! Il est déjà tout contre elle, la caresse, pince ses tétons, elle ne semble pas insensible à sa dextérité… Je souris toujours comme une niaise, tellement amusée par cette scène, cette situation et c’est là je sens ses doigts. L’homme du couple près de nous n’a pas l’intention de me laisser livrée à moi-même. Il me caresse, me doigte. Je tente de deviner son visage dans l’obscurité. Impossible. On est sur du 25-30 ans je pense. Une belle érection s’offre à mes mains. Je commence à le branler sous l’eau tout en glissant ma langue dans sa bouche. C’est fou. Je vis un truc incroyable et je n’ai qu’une hâte : narrer ces aventures à MisterBloom ! Les quatre corps finissent par se mélanger, savamment guidés par E. Je suce ce nouvel inconnu avec sa compagne, nous emmêlons nos bouches nos salives et je crois que ça leur plaît. En tous cas, pour ma part, c’est beaucoup de plaisir.

     

    Nouvelle pause. Mon amant semble aux anges. Tout comme moi, j’ai un sourire indéfectible sur les lèvres. On s’emmêle les mains, les doigts, les yeux sur le canapé près du bar tout en débriefant. Je suis bien. C’est amusant de voir des gens nus, des hommes plus ou moins en érection, au bar, qui discutent… Sur l’écran plat qui nous surplombe, la jolie dame n’en finit plus de se faire prendre son magnifique anus imberbe et elle semble en redemander. E. ne tarit pas d’éloge sur mes capacités d’adaptation, il évoque déjà les projets qui lui viennent, dans d’autres saunas libertins qu’il me décrit. Un véritable guide vert coquin mon amant !

     

    Dernier round. Il m’emmène dans la petite alcôve où m’attend le siège gynécologique. C’est bien la première fois que je suis ravie de poser mes pieds à cette hauteur pour offrir mon entrejambe ! Il s’agenouille et me dévore avec un appétit certain. Je ne touche plus terre ! Il enfile un préservatif et me prend, me voilà remplie de lui, de sa queue, mes jambes sur ses épaules, mes pieds se tortillant de plaisir. E. finit par s’agenouiller à nouveau : « Mmmh… j’aime bien te voir à mes pieds ». Il me sourit. Il s’occupe maintenant de mon clitoris avec ardeur, ses doigts fermes me branlent sans relâche jusqu’à ce qu’il fasse jaillir ce jus, à grandes giclées. Son visage est trempé, mes cuisses aussi et je m’écroule sur le siège, vidée, heureuse, épuisée. Quelle soirée !

     

    En franchissant la porte de sortie, c’est une étrange sensation de retour à la réalité. Je suis dans du coton. L’air est tiède et humide. J’aurais presque eu envie d’une cigarette, moi qui ait arrêté depuis 15 ans... Nous nous embrassons, le moment que j’aime le moins : les aux revoir. On se promet de se voir très vite, ici ou ailleurs. Je lui propose d’embrasser sa charmante épouse, tout en songeant combien elle était délicieuse, puis m’enfuis vers MisterBloom. Les rues sont désertes. Dans les foyers, les lumières trahissent l’activité humaine ; j’ai envie de leur crier que c’est ça la vie ! Le sexe débridé, le lâcher-prise, l’ouverture d’esprit. Je me sens plus vivante que jamais.

     

    J’enregistre quelques vocaux sur le chemin pour le mettre en appétit. J’ai tellement hâte de lui narrer toutes ces aventures ! A mon arrivée, MisterBloom m’attend à l’entrée de l’appartement, nu, la queue dressée, le sourire aux lèvres. Il m’a adorablement préparé une assiette, je suis affamée. Pourtant je vais à peine y toucher à cette assiette. Nous nous installons sur le lit conjugal pour que je lui raconte ; il perçoit mon euphorie et cela lui plaît ! Il est fier de moi mais au fond pas si surpris. J’ai des étoiles dans les yeux et c’est cela qui le rend fou, qui le tend à chaque fois. Je l’enjambe et l’embrasse goulûment, puis lui montre ma chatte, je veux qu’il voit qu’elle a été maltraitée, pilonnée, tâtée, happée, qu’elle est presque out of order et que le cocu qu’il est n’aura pas le droit de me prendre. Je lui ordonne de s’allonger, je branle sa queue gorgée. « Lèche l’intérieur de mes cuisses, il y a encore mon jus, celui que mon amant a fait couler ». MisterBloom ne se fait pas prier, je sens à sa respiration qu’il aime tout particulièrement ce retour, il aime voir sa salope aussi confiante, aussi dépravée, et savoir qu’elle s’est montrée cochonne en bonne hotwife qu’elle est lui fait perdre la tête. Je lui interdis de me doigter, il n’a que l’autorisation d’y poser sa langue pour goûter et reconnaître le goût de cet indicible parfum de stupre. Il se branle fort tandis que je m’assois sur son visage en le tenant par les cheveux. Là je le regarde jouir à grandes salves, j’admire les contractions de tout son corps et l’embrasse amoureusement.


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  • Je pourrais en faire des dizaines d'articles comme ceux-là ! Mais niveau cul, c'est plutôt limité car j'aime beaucoup de choses...

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    Quand mes seins paraissent

                               très avantagés sur les photos !

     

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    Les filles à gros seins en veulent des petits et les comme moi, en veulent des lourds et imposants. Jamais contentes les nanas... Ceux de Mjadore6969 font partie des plus beaux à mon goût. Et quoi que vous disiez Messieurs (et dames), j'ai bien noté que les tweets avec des bigboobs font un max de likes hé hé ! On ne me la fait pas hein. Je sais que d'y glisser votre membre viril vous rend dingue et que les voir se balancer lourdement est un spectacle délicieux. Y aurait-il un rapport avec la petite enfance et la recherche du sein nourricier... ?

     

    J'aime - J'aime pas 2e éditionMes Fesses

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    Elles ne sont pas fameuses. Jolies pendant les ébats car plus je suis excitée, plus je les relève, je ne suis pas en paix avec elles. N'étant pas une grande sportive, elles ne sont pas aussi rebondies que je le voudrais, souvent pâlottes car peu exposées au soleil (faut qu'on retourne faire du nudisme) et pas assez étroites. N'allez pas me dire meuh si hé ! Je suis ok avec ça, j'ai mes seins pour me rattraper. Pas besoin de me consoler, d'autant que je suis clairvoyante ! Mais Twitter est un paradis des jolies fesses...

     

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    Faire du vélo en robe

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                       Qu'on essaie à tout prix de me faire squirter

     

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    Squirter  n'est pas une fin en soi, et surtout, cela ne correspond pas à un orgasme. Lorsque les 2 sont cumulés alors oui ! C'est du bonheur pour tout le monde. Mais s'acharner à stimuler LA zone en espérant la fontaine de jouvence, jusqu'à l'inconfort et engendrer des soucis médicaux à venir, alors là non. C'est fragile un vagin, vous savez ;-)

     

     

    J'aime - J'aime pas 2e éditionNe rien porter sous un pull

     

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    Et ben oui... c'est stimulant, titillant, mignon et chaud. Tout ce que j'aime. Malheureusement, notre société pudibonde a du mal avec les tétons qui pointent (je sais de quoi je parle) alors, souvent, je les range. Ils attendent sagement que je vienne les libérer en fin de journée.

     

    J'aime - J'aime pas 2e éditionDécouvrir une nouvelle queue

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    Passer aux choses sérieuses avec un libertin, c'est un moment délicieux. vous savez, la bascule... Mais le meilleur moment reste lorsque je m'agenouille et que je découvre l'anatomie de mon partenaire, sa douceur, sa couleur, sa forme, mais aussi son goût (!), son odeur et sa texture, ses réactions à mes coups de langue. Lorsque j'abaisse un caleçon, c'est comme ouvrir un cadeau de Noël. J'ai les yeux qui brillent. Et hop : Jack in the Box ! Le membre durci se dresse devant moi, prêt à être englouti. J'adore !

     

    J'aime - J'aime pas 2e éditionLa mode des pubis sans poils

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    Je comprends qu'on ait envie de lisser cette zone, pour mieux plaire aux hommes mais je pense (attention la féministe qui est en moi se réveille) que c'est obéir à un diktat masculin. De plus, un pubis sans poil ressemble à un sexe d'enfants (!!) et c'est là que c'est inquiétant. Je ne milite pas pour les grosses touffes (euargh) mais j'ai déjà pris des remarques dans les commentaires de mes tweets (rarement fort heureusement) qui me proposaient d'aller me faire épiler. La susceptible que je suis était alors un peu vexée... J'entretiens mon pubis, parfois il y a peu de poils, parfois beaucoup (comme ici :-D), cela varie dans le temps et dépend aussi du temps que j'ai à consacrer à mon épilation. Jusqu'ici, aucun de mes amants ne s'est plaint de cette différence, et MonsieurBloom milite pour le retour des poils pubiens !

     

    J'aime - J'aime pas 2e éditionOffrir mon entrejambe aux rayons chauds du soleil

     

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    Le soleil, encore et toujours. Il a été pourtant méchant avec moi avec un  mélanome qu'on a dû m'enlever et qui fort heureusement n'a pas généré de méchantes cellules ailleurs. Mais ce soleil reste mon meilleur allié. Il réchauffe, il apporte de la vitamine D, il fait dorer les peaux, enlever les vêtements, briller les épidermes et rend les gens heureux (enfin... presque). Bref, la nudité au soleil est un sacré bonheur !

     

     

     


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  • Voici ma liste non exhaustive de mes j'aime/j'aime pas, en matière de sexe, de vêtements, de pratiques, d'habitudes. Mais je reste avant tout ouverte et prête à changer d'avis... il n'y a pas pire phrase que : "ça, moi, je peux pas". Gardons les yeux et le coeur ouverts, rien de mieux que de faire sauter les verrous, pas vrai ?

     

    L'été J'aime - J'aime pas

    Parce que c'est la saison chaude, la saison des robes courtes, des corps accessibles, parce que le soleil me fait tourner la tête, l'été a toute ma préférence. Je reste une aficionada des terrasses de café, où l'on sirote un verre frais en offrant au regard de la foule ses jambes halées. J'aime le rosé frais, le bruit des glaçons, les robes amples qui volent au vent, les sandales, la couleur des piscines, l'odeur du pastis (je n'en bois pourtant pas) et le bruit des cigales. J'aime Paris l'été, à l'heure où les gens s'endorment, lorsque nous quittons un libertin, le sourire aux lèvres, le feu entre les cuisses, l'ivresse qui aplanit les sensations.

     

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    Les fessées J'aime - J'aime pas

    Ce n'est pas que je déteste ça, mais... le plaisir qui est sensé en découler n'est pas forcément au rendez-vous.

    Cela n'a pas trop d'effet sur moi, si ce n'est peut-être une petite excitation cérébrale à l'idée d'être naughty et du coup, punie. Encore une fois, je ne demande qu'à être convaincue !

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    Sucer !

    J'aime - J'aime pasça, c'est l'une de mes activités (sexuelles) préférées. Je ne me lasse pas. Bien sûr, ça ne dure pas des heures, hein. Mais j'avoue y prendre un grand plaisir. L'effet est toujours immédiat sur mon entrejambe : humidité assurée ! En lisant le blog d'Amante Lili, j'ai appris beaucoup et notamment les gorges profondes (j'y travaille un peu ;-) )

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    L'annulingus

    J'aime - J'aime pasAutant la sodomie pratiquée avec art et envie peut-être absolument délicieuse (et me fait souvent jouir), autant cette pratique-ci n'obtient pas mes faveurs. Pourquoi ? Je n'ai jamais analysé la cause. Je ne trouve pas ça "sale" car j'aime qu'on y glisse un doigt, ou davantage hé hé... mais une langue, bof bof.

    J'aime - J'aime pas

     

    J'aime - J'aime pasLes Talons (accessoire antiféministe)

    Les jambes d'une femme sont totalement sublimées par des talons. Ils allongent la jambe, affinent le mollet, restent sexy même pendant les ébats. A condition de savoir marcher avec, quelle classe d'arriver à un rendez-vous libertin en talons... Rien ne me rend plus sexy, en apparence comme dans la tête, qu'une jolie paire de talons. Mieux encore : lorsque j'écorche la peau de MisterBloom avec leur pointe ! Dommage que la plupart soient des objets de torture...

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    J'aime - J'aime pasLa douceur et la délicatesse d'une femme

    La virilité d'un homme, sa fermeté, ça peut être bon dans certains moments. Mais une femme reste du bonheur tactile, de la sensualité à l'état pur, surtout si elle se lâche et laisse parler son corps. Je suis très friande de ces instants de baisers, de caresses avec des femmes, les doigts qui passent dans les cheveux et ailleurs...

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    Les plugs J'aime - J'aime pas

    Pour avoir testé le port du plug anal, disons que... ça ne m'a pas apporté plus de satisfaction que ca. Pas très agréable à retirer en plus... C'est certes joli, mais mes yeux n'en profitent même pas. En revanche, son utilisation devient intéressante au moment de jouir ! Rien de telle qu'une pénétration anale pour déclencher un séisme orgasmique !

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    Accueillir la jouissance sur les seins

    Mes seins, ma plus grande fierté ! (grâce à Twitter qui les encense sans cesse) Je suis toujours flattée lorsqu'un homme y dépose sa semence. Je trouve ça très excitant. Idem lorsque l'éjaculat se fait sur les lèvres et le clitoris. Mon pêcher mignon : me caresser avec ce lubrifiant naturel et jouir à mon tour !

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    Dans divers domaines, je me suis surprise à aimer de choses qui me rebutaient, depuis que nous avons commencé nos activités libertines avec MisterBloom. Cette activité ouvre franchement les mentalités et accentue la flexibilité de pensée. Et en plus c'est bon pour la santé, mentale et physique. Pourquoi s'en priver ?


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